BENGHAZI – Les dictateurs du Moyen-Orient ont coutume de dire que leur renversement se traduirait par des rivières de sang, une occupation occidentale, la pauvreté, le chaos et Al Quaïda. On a entendu ces menaces proférées en Tunisie, en Egypte, au Yémen, à Bahreïn, en Syrie et avec une touche d'humour noir, en Libye. Pourtant le coût du renversement des dictatures, aussi élevé puisse-t-il être, est faible, comparé aux dommages infligés par les régimes en place. Autrement dit, si la liberté a un prix, il mérite d'être payé.
BENGHAZI – Les dictateurs du Moyen-Orient ont coutume de dire que leur renversement se traduirait par des rivières de sang, une occupation occidentale, la pauvreté, le chaos et Al Quaïda. On a entendu ces menaces proférées en Tunisie, en Egypte, au Yémen, à Bahreïn, en Syrie et avec une touche d'humour noir, en Libye. Pourtant le coût du renversement des dictatures, aussi élevé puisse-t-il être, est faible, comparé aux dommages infligés par les régimes en place. Autrement dit, si la liberté a un prix, il mérite d'être payé.