NEW YORK – En plein débat sur l’opposition entre l’Argentine et les « fonds vautours » détenant ses obligations, un important consensus se dégage concernant la nécessité d’instaurer des mécanismes de restructuration de la dette souveraine (MRDS). À défaut de cette mise en œuvre, la décision du juge fédéral américain Thomas P. Griesa, qui impose à l’Argentine de rembourser en intégralité ces fonds vautours (bien que 93 % des autres titulaires d’obligations aient consenti à une restructuration), ne pourra qu’inciter aux comportements les plus opportunistes, susceptibles de saboter les restructurations futures.
NEW YORK – En plein débat sur l’opposition entre l’Argentine et les « fonds vautours » détenant ses obligations, un important consensus se dégage concernant la nécessité d’instaurer des mécanismes de restructuration de la dette souveraine (MRDS). À défaut de cette mise en œuvre, la décision du juge fédéral américain Thomas P. Griesa, qui impose à l’Argentine de rembourser en intégralité ces fonds vautours (bien que 93 % des autres titulaires d’obligations aient consenti à une restructuration), ne pourra qu’inciter aux comportements les plus opportunistes, susceptibles de saboter les restructurations futures.