NEW-YORK – L'année 2012 aura été aussi mauvaise que je l'avais imaginée. La récession en Europe a été la conséquence prévisible et prévue de sa politique d'austérité et d'une faille dans la conception même de l'euro, ce qui le vouait à l'échec. Aux USA la croissance a été à peine suffisante pour créer les emplois voulus pour les nouveaux entrants sur le marché du travail. Cette reprise anémique a été elle aussi la conséquence prévisible et prévue d'un blocage politique qui a empêché l'adoption des mesures contre le chômage du président Obama et envoyé l'économie vers une "falaise budgétaire" (l'augmentation automatique des impôts et la réduction des dépenses au 1° janvier 2013).
NEW-YORK – L'année 2012 aura été aussi mauvaise que je l'avais imaginée. La récession en Europe a été la conséquence prévisible et prévue de sa politique d'austérité et d'une faille dans la conception même de l'euro, ce qui le vouait à l'échec. Aux USA la croissance a été à peine suffisante pour créer les emplois voulus pour les nouveaux entrants sur le marché du travail. Cette reprise anémique a été elle aussi la conséquence prévisible et prévue d'un blocage politique qui a empêché l'adoption des mesures contre le chômage du président Obama et envoyé l'économie vers une "falaise budgétaire" (l'augmentation automatique des impôts et la réduction des dépenses au 1° janvier 2013).