BERLIN – Il y a un an, juristes et commentateurs débattaient de la question de savoir si destituer un président américain constituait une démarche de droit ou plutôt de politique. Les deux dimensions entrent évidemment en jeu, et il n’y a rien de problématique avec la dimension politique. En vertu de la Constitution des États-Unis, ce sont les acteurs politiques, et non les tribunaux, qui sont censés déterminer si un président a commis des « délits et crimes graves », et, aspect essentiel, si le chef de l’État représente ou non une menace réelle pour la république.
BERLIN – Il y a un an, juristes et commentateurs débattaient de la question de savoir si destituer un président américain constituait une démarche de droit ou plutôt de politique. Les deux dimensions entrent évidemment en jeu, et il n’y a rien de problématique avec la dimension politique. En vertu de la Constitution des États-Unis, ce sont les acteurs politiques, et non les tribunaux, qui sont censés déterminer si un président a commis des « délits et crimes graves », et, aspect essentiel, si le chef de l’État représente ou non une menace réelle pour la république.