CANBERRA – Malgré l’aval tardif donné par le Conseil de sécurité à la mission de l’envoyé spécial de l’ONU Kofi Annan en Syrie, il y a peu de chances de voir le président syrien Bachar el-Assad coopèrer de manière sérieuse et durable et les appels en faveur d’une intervention militaire extérieure se multiplient. Alors que la crise syrienne empire de jour en jour, les partisans d’une intervention armée évoquent à la fois les conséquences tragiques de l’inaction au Rwanda et en Bosnie dans les années 1990, et le succès de l’action internationale en Libye l’an dernier.
CANBERRA – Malgré l’aval tardif donné par le Conseil de sécurité à la mission de l’envoyé spécial de l’ONU Kofi Annan en Syrie, il y a peu de chances de voir le président syrien Bachar el-Assad coopèrer de manière sérieuse et durable et les appels en faveur d’une intervention militaire extérieure se multiplient. Alors que la crise syrienne empire de jour en jour, les partisans d’une intervention armée évoquent à la fois les conséquences tragiques de l’inaction au Rwanda et en Bosnie dans les années 1990, et le succès de l’action internationale en Libye l’an dernier.