Greece sadness George Panagakis/ZumaPress

Dernière chance pour Athènes et Bruxelles

NEW YORK – Si le désastre grec mobilise l’attention du monde entier, c’est principalement pour deux raisons. Premièrement parce qu’il est extrêmement troublant d’assister à l’effondrement de toute une économie, au retour de la soupe populaire, ainsi qu’à de files d’attente aux guichets bancaires jamais observées depuis la Grande Dépression. Et deuxièmement parce que nous sommes les témoins effrayés de l’incapacité d’innombrables dirigeants et institutions – responsables nationaux, Commission européenne, Fonds monétaire international, et Banque centrale européenne – à empêcher ce déraillement qui s’opère au ralenti depuis maintenant plusieurs années.

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