CAMBRIDGE – les actes de soins sont considérés comme une “charge” par les économistes, comme un “processus de lutte” par les psychologues cliniciens ; ce sont des coûts de santé pour les chercheurs et des compétences cliniques pour les médecins. Mais beaucoup estiment que les actes de soins sont une composante fondatrice de l’expérience morale. Ils font appel à la reconnaissance, à l’imagination empathique, à la capacité de témoigner, au sens des responsabilités, à la solidarité. Ce sont les formes les plus concrètes d’assistance. C’est cette considération morale qui fait que ceux qui prodiguent les soins, et parfois ceux qui les reçoivent, se sentent “présents”, et donc plus humains.
CAMBRIDGE – les actes de soins sont considérés comme une “charge” par les économistes, comme un “processus de lutte” par les psychologues cliniciens ; ce sont des coûts de santé pour les chercheurs et des compétences cliniques pour les médecins. Mais beaucoup estiment que les actes de soins sont une composante fondatrice de l’expérience morale. Ils font appel à la reconnaissance, à l’imagination empathique, à la capacité de témoigner, au sens des responsabilités, à la solidarité. Ce sont les formes les plus concrètes d’assistance. C’est cette considération morale qui fait que ceux qui prodiguent les soins, et parfois ceux qui les reçoivent, se sentent “présents”, et donc plus humains.