WASHINGTON – Avant que l'Amérique et le monde ne s'habituent à la nouvelle réalité de l'accession de Trump à la présidence, faisons un peu de politique-fiction. Supposons que mercredi 9 novembre nous nous soyons réveillés en apprenant la victoire d'Hillary Clinton. Imaginons également que ce soit Helen Clark de Nouvelle-Zélande ou Kristalina Georgieva qui ait été choisie, plutôt que l'ancien Premier ministre portugais Antonio Guterres, pour succéder à Ban Ki-Moon au poste de secrétaire général de l'ONU.
WASHINGTON – Avant que l'Amérique et le monde ne s'habituent à la nouvelle réalité de l'accession de Trump à la présidence, faisons un peu de politique-fiction. Supposons que mercredi 9 novembre nous nous soyons réveillés en apprenant la victoire d'Hillary Clinton. Imaginons également que ce soit Helen Clark de Nouvelle-Zélande ou Kristalina Georgieva qui ait été choisie, plutôt que l'ancien Premier ministre portugais Antonio Guterres, pour succéder à Ban Ki-Moon au poste de secrétaire général de l'ONU.