Les ennuis de Paul Wolfowitz, le président de la Banque mondiale, vont-ils finalement permettre à cette institution d'évoluer ? Mettra-t-on fin à la pratique archaïque qui veut que ce soit le président des USA qui désigne tout seul le responsable de la principale institution internationale consacrée au développement ?
Les ennuis de Paul Wolfowitz, le président de la Banque mondiale, vont-ils finalement permettre à cette institution d'évoluer ? Mettra-t-on fin à la pratique archaïque qui veut que ce soit le président des USA qui désigne tout seul le responsable de la principale institution internationale consacrée au développement ?