"Une tempête dans une tasse de thé"! C'est la meilleure description de la récente querelle au sujet des négociations sur l'admission de la Turquie dans l’Union européenne. Les élections allemandes se sont en partie jouées là-dessus, la chancelière Angela Merkel ayant inclus dans son programme une proposition de "partenariat privilégié" avec la Turquie en lieu et place d'une adhésion à l'UE. L'attitude du gouvernement autrichien, motivé sans doute autant par les prochaines élections que par des considérations de politique étrangère, a failli mettre en danger la tenue même de ces négociations.
"Une tempête dans une tasse de thé"! C'est la meilleure description de la récente querelle au sujet des négociations sur l'admission de la Turquie dans l’Union européenne. Les élections allemandes se sont en partie jouées là-dessus, la chancelière Angela Merkel ayant inclus dans son programme une proposition de "partenariat privilégié" avec la Turquie en lieu et place d'une adhésion à l'UE. L'attitude du gouvernement autrichien, motivé sans doute autant par les prochaines élections que par des considérations de politique étrangère, a failli mettre en danger la tenue même de ces négociations.