CAMBRIDGE – Les observateurs ne sont pas tendres avec la ministre britannique des Finances, Rachel Reeves. Avant même le prononcé de son très attendu « discours sur la croissance » du 29 janvier, les critiques pleuvaient déjà sur les réseaux sociaux et dans les médias. Son approche serait trop dispersée, considèrent certains, et trop dépendante de mesures dont l’impact ne se fera sentir qu’à long terme. Plusieurs de ses mesures s’inscriraient à l’encontre des engagements environnementaux du pays, selon d’autres, et ne seraient pas réparties équitablement sur le territoire britannique. Tout cela coûtera trop cher, entend-on également. Le PDG de Ryanair, Michael O’Leary, est allé jusqu’à déclarer publiquement que Reeves naviguait tout simplement « à l’aveugle ».
CAMBRIDGE – Les observateurs ne sont pas tendres avec la ministre britannique des Finances, Rachel Reeves. Avant même le prononcé de son très attendu « discours sur la croissance » du 29 janvier, les critiques pleuvaient déjà sur les réseaux sociaux et dans les médias. Son approche serait trop dispersée, considèrent certains, et trop dépendante de mesures dont l’impact ne se fera sentir qu’à long terme. Plusieurs de ses mesures s’inscriraient à l’encontre des engagements environnementaux du pays, selon d’autres, et ne seraient pas réparties équitablement sur le territoire britannique. Tout cela coûtera trop cher, entend-on également. Le PDG de Ryanair, Michael O’Leary, est allé jusqu’à déclarer publiquement que Reeves naviguait tout simplement « à l’aveugle ».