WASHINGTON – Uber, Lyft, DoorDash, Instacart et d'autres entreprises qui emploient des travailleurs précaires cherchent une fois de plus l'onction de la loi pour leurs pratiques peu scrupuleuses. Elles proposent un référendum qui devrait se tenir en novembre dans le Massachusetts peu avant l'élection présidentielle. Leur objectif est d'obtenir la légalisation du statut de travailleur indépendant de leurs chauffeurs et de leurs livreurs. L'Institut Open Markets pour lequel je travaille a déposé une requête (amicus brief) devant les tribunaux pour contester la constitutionnalité des questions posées. De même que lors du référendum de 2020 en Californie sur la Proposition 22, Uber et les autres entreprises concernées vont probablement dépenser des sommes faramineuses pour convaincre les citoyens que ces mesures seront bénéfiques tant aux travailleurs concernés qu'à l'ensemble de la population.
WASHINGTON – Uber, Lyft, DoorDash, Instacart et d'autres entreprises qui emploient des travailleurs précaires cherchent une fois de plus l'onction de la loi pour leurs pratiques peu scrupuleuses. Elles proposent un référendum qui devrait se tenir en novembre dans le Massachusetts peu avant l'élection présidentielle. Leur objectif est d'obtenir la légalisation du statut de travailleur indépendant de leurs chauffeurs et de leurs livreurs. L'Institut Open Markets pour lequel je travaille a déposé une requête (amicus brief) devant les tribunaux pour contester la constitutionnalité des questions posées. De même que lors du référendum de 2020 en Californie sur la Proposition 22, Uber et les autres entreprises concernées vont probablement dépenser des sommes faramineuses pour convaincre les citoyens que ces mesures seront bénéfiques tant aux travailleurs concernés qu'à l'ensemble de la population.