NEW YORK – Pourquoi un président américain voudrait-il, dans les dernières semaines de son administration, reprendre l’exécution des condamnés à mort fédéraux à un rythme furieux, tandis qu’il pardonne quatre mercenaires américains qui ont tué de sang-froid quatorze civils irakiens ? Le gouvernement fédéral a déjà tué dix hommes cette année – plus d’exécutions que dans tous les États américains réunis. Trois exécutions sont encore prévues avant que Donald Trump ne quitte ses fonctions le mois prochain – l’une d’elles pour un meurtre commis quand le condamné n’avait pas encore dix-huit ans, alors qu’une autre verra conduite à la mort la première femme depuis soixante-dix ans.
NEW YORK – Pourquoi un président américain voudrait-il, dans les dernières semaines de son administration, reprendre l’exécution des condamnés à mort fédéraux à un rythme furieux, tandis qu’il pardonne quatre mercenaires américains qui ont tué de sang-froid quatorze civils irakiens ? Le gouvernement fédéral a déjà tué dix hommes cette année – plus d’exécutions que dans tous les États américains réunis. Trois exécutions sont encore prévues avant que Donald Trump ne quitte ses fonctions le mois prochain – l’une d’elles pour un meurtre commis quand le condamné n’avait pas encore dix-huit ans, alors qu’une autre verra conduite à la mort la première femme depuis soixante-dix ans.