WASHINGTON – Le mois dernier, le président des États-Unis Donald Trump a promulgué une loi l’autorisant à prendre des sanctions contre des responsables chinois impliqués dans l’incarcération en masse de plus d’un million d’Ouïgours et de membres d’autres minorités à prédominance musulmane au Xinjiang, à l’ouest de la Chine. La loi de 2020 sur la politique des droits de l’homme envers les Ouïgours, née d’un projet bipartisan, condamne les violations des droits de l’homme et appelle les autorités chinoises à fermer immédiatement leurs centres de « formation professionnelle » dans la région, à garantir le respect des personnes et à permettre aux Chinois résidant sur le territoire national de renouer tous liens avec leur famille, leurs amis et leurs collègues de travail en dehors du pays.
WASHINGTON – Le mois dernier, le président des États-Unis Donald Trump a promulgué une loi l’autorisant à prendre des sanctions contre des responsables chinois impliqués dans l’incarcération en masse de plus d’un million d’Ouïgours et de membres d’autres minorités à prédominance musulmane au Xinjiang, à l’ouest de la Chine. La loi de 2020 sur la politique des droits de l’homme envers les Ouïgours, née d’un projet bipartisan, condamne les violations des droits de l’homme et appelle les autorités chinoises à fermer immédiatement leurs centres de « formation professionnelle » dans la région, à garantir le respect des personnes et à permettre aux Chinois résidant sur le territoire national de renouer tous liens avec leur famille, leurs amis et leurs collègues de travail en dehors du pays.