OXFORD – Les tortures subies par le journaliste saoudien installé aux États-Unis Jamal Khashoggi et son meurtre sauvage ont attiré l’attention sur le prince héritier Mohammed Ben Salman, qui semble bien avoir donné l’ordre de l’assassinat. L’événement souligne aussi les dangers de la production d’informations. Lorsque les chiffres définitifs seront connus, 2018 pourrait s’avérer comme l’année la plus meurtrière jamais enregistrée pour les journalistes dans le monde.
OXFORD – Les tortures subies par le journaliste saoudien installé aux États-Unis Jamal Khashoggi et son meurtre sauvage ont attiré l’attention sur le prince héritier Mohammed Ben Salman, qui semble bien avoir donné l’ordre de l’assassinat. L’événement souligne aussi les dangers de la production d’informations. Lorsque les chiffres définitifs seront connus, 2018 pourrait s’avérer comme l’année la plus meurtrière jamais enregistrée pour les journalistes dans le monde.