CHARLESTON, SOUTH CAROLINA – Au début de la crise financière, un important investisseur sur les marchés émergents m’avait déclaré : « ceci n’est pas une crise financière globale, mais semi-globale. » Il avait raison : il s’agissait véritablement d’une crise des Etats-Unis, de l’Europe et du Japon. Parmi les économies émergentes, seule l’Europe de l’est fut gravement touchée. En effet, la crise a marqué le renversement des plus grands pays occidentaux par les économies émergentes, avec d’énormes conséquences pour la répartition globale du pouvoir, de la finance, de la politique et de l’économie.
CHARLESTON, SOUTH CAROLINA – Au début de la crise financière, un important investisseur sur les marchés émergents m’avait déclaré : « ceci n’est pas une crise financière globale, mais semi-globale. » Il avait raison : il s’agissait véritablement d’une crise des Etats-Unis, de l’Europe et du Japon. Parmi les économies émergentes, seule l’Europe de l’est fut gravement touchée. En effet, la crise a marqué le renversement des plus grands pays occidentaux par les économies émergentes, avec d’énormes conséquences pour la répartition globale du pouvoir, de la finance, de la politique et de l’économie.