BERKELEY – Un gouvernement n’appliquant pas un impôt suffisant pour couvrir ses dépenses s’expose inexorablement à toutes sortes de difficultés générées par la dette. Ses taux d’intérêt nominaux sont voués à augmenter à mesure de la crainte croissante des détenteurs d’obligations à l’égard de l’inflation. Ses chefs d’entreprise auront quant à eux tendance à courber l’échine, et s’efforceront d’exfiltrer leurs richesses hors des sociétés qu’ils dirigent, de peur d’être soumis à un futur impôt sur les sociétés élevé.
BERKELEY – Un gouvernement n’appliquant pas un impôt suffisant pour couvrir ses dépenses s’expose inexorablement à toutes sortes de difficultés générées par la dette. Ses taux d’intérêt nominaux sont voués à augmenter à mesure de la crainte croissante des détenteurs d’obligations à l’égard de l’inflation. Ses chefs d’entreprise auront quant à eux tendance à courber l’échine, et s’efforceront d’exfiltrer leurs richesses hors des sociétés qu’ils dirigent, de peur d’être soumis à un futur impôt sur les sociétés élevé.