Alors que la guerre se poursuit au Liban, le terme usage disproportionné de la force est utilisé à tort et à travers, comme s’il reposait sur un principe de droit international parfaitement clair, permettant de déterminer quand l’usage de la force est disproportionné et pourquoi il est illégal. Mais l’existence de victimes civiles dans le cadre de combats militaires n’est pas un argument suffisant. Le fait que plus d’enfants meurent d’un côté que de l’autre ne suffit pas non plus à remplir les critères, quels qu’ils soient. Que signifie alors ce terme, et quelle est sa place dans le droit de la guerre ?
Alors que la guerre se poursuit au Liban, le terme usage disproportionné de la force est utilisé à tort et à travers, comme s’il reposait sur un principe de droit international parfaitement clair, permettant de déterminer quand l’usage de la force est disproportionné et pourquoi il est illégal. Mais l’existence de victimes civiles dans le cadre de combats militaires n’est pas un argument suffisant. Le fait que plus d’enfants meurent d’un côté que de l’autre ne suffit pas non plus à remplir les critères, quels qu’ils soient. Que signifie alors ce terme, et quelle est sa place dans le droit de la guerre ?