NEW YORK – Dans un article récent et intéressant, publié par le Times Literary Supplement, la romancière, essayiste et poétesse ukrainienne Oksana Zaboujko reprochait aux lectrices et lecteurs occidentaux leur naïveté à l’égard de la barbarie russe. Trop de gens, affirmait-elle, pensent que les grands écrivains russes, comme Fédor Dostoïevski, expriment les valeurs humanistes européennes. Ils n’ont pas regardé assez profondément au fond de la violente âme russe.
NEW YORK – Dans un article récent et intéressant, publié par le Times Literary Supplement, la romancière, essayiste et poétesse ukrainienne Oksana Zaboujko reprochait aux lectrices et lecteurs occidentaux leur naïveté à l’égard de la barbarie russe. Trop de gens, affirmait-elle, pensent que les grands écrivains russes, comme Fédor Dostoïevski, expriment les valeurs humanistes européennes. Ils n’ont pas regardé assez profondément au fond de la violente âme russe.