NEW-YORK – Après la fin de la dégringolade financière courant 2009 et dans le sillage de la crise de la dette publique massive de la Grèce, de l'Irlande et d'autres pays européens, la plupart des pays du G7 ont abandonné leur politique anti-recessionniste. A l'exception notable des USA, depuis le milieu de l'année 2010 les dirigeants du G7 veulent donner la priorité à la consolidation budgétaire, revenant sur leurs mesures précédentes de relance et appelant à l'austérité afin d'équilibrer leurs budgets - malgré la faiblesse et le caractère incertain et chaotique de la reprise économique.
NEW-YORK – Après la fin de la dégringolade financière courant 2009 et dans le sillage de la crise de la dette publique massive de la Grèce, de l'Irlande et d'autres pays européens, la plupart des pays du G7 ont abandonné leur politique anti-recessionniste. A l'exception notable des USA, depuis le milieu de l'année 2010 les dirigeants du G7 veulent donner la priorité à la consolidation budgétaire, revenant sur leurs mesures précédentes de relance et appelant à l'austérité afin d'équilibrer leurs budgets - malgré la faiblesse et le caractère incertain et chaotique de la reprise économique.