LONDRES – Alors que l'on évoque souvent l'éventuelle interruption voire inversion de l'assouplissement quantitatif, une question n'est presque jamais soulevée : pourquoi les quantités massives d'achats d'obligations par les banques centrales en Europe et aux États-Unis depuis 2009 ont-elles eu si peu d'effet sur le niveau général des prix ?
LONDRES – Alors que l'on évoque souvent l'éventuelle interruption voire inversion de l'assouplissement quantitatif, une question n'est presque jamais soulevée : pourquoi les quantités massives d'achats d'obligations par les banques centrales en Europe et aux États-Unis depuis 2009 ont-elles eu si peu d'effet sur le niveau général des prix ?