NEW YORK – Il est facile de tourner en ridicule les manifestants universitaires aux États-Unis qui appellent à une Palestine libre « du fleuve à la mer ». Les étudiants de certaines des universités les plus chères et les plus prestigieuses du pays portent des keffiehs palestiniens, qui « libèrent » des bâtiments du campus, comme s'ils étaient des combattants de la liberté, et, dans le cas d'au moins un jeune manifestant, qui exigent de la nourriture et de l'eau des autorités du collège au titre d'une « aide humanitaire de base ».
NEW YORK – Il est facile de tourner en ridicule les manifestants universitaires aux États-Unis qui appellent à une Palestine libre « du fleuve à la mer ». Les étudiants de certaines des universités les plus chères et les plus prestigieuses du pays portent des keffiehs palestiniens, qui « libèrent » des bâtiments du campus, comme s'ils étaient des combattants de la liberté, et, dans le cas d'au moins un jeune manifestant, qui exigent de la nourriture et de l'eau des autorités du collège au titre d'une « aide humanitaire de base ».