CAMBRIDGE – Bien que la guerre à Gaza ne soit pas terminée, elle a déjà eu des effets considérables sur les universités américaines. À la suite des attaques atroces du Hamas contre des civils, la plupart des campus ont d'abord manifesté leur sympathie pour Israël. Mais à mesure que le temps passait et que les images de la guerre s'accumulaient, de nombreux jeunes ont commencé à protester contre ce qu'ils considéraient comme un nombre excessif de victimes civiles à Gaza. Les campus se sont profondément divisés, les étudiants pro-palestiniens exigeant le désinvestissement des entreprises travaillant avec Israël, et les étudiants pro-israéliens faisant valoir qu'un environnement hostile menaçait leur sécurité et la poursuite de leurs études.
CAMBRIDGE – Bien que la guerre à Gaza ne soit pas terminée, elle a déjà eu des effets considérables sur les universités américaines. À la suite des attaques atroces du Hamas contre des civils, la plupart des campus ont d'abord manifesté leur sympathie pour Israël. Mais à mesure que le temps passait et que les images de la guerre s'accumulaient, de nombreux jeunes ont commencé à protester contre ce qu'ils considéraient comme un nombre excessif de victimes civiles à Gaza. Les campus se sont profondément divisés, les étudiants pro-palestiniens exigeant le désinvestissement des entreprises travaillant avec Israël, et les étudiants pro-israéliens faisant valoir qu'un environnement hostile menaçait leur sécurité et la poursuite de leurs études.