BUDAPEST – Avec un certain retard, le gouvernement polonais, contrôlé par le parti Droit et Justice (PiS), a finalement répondu aux inquiétudes soulevées par la Commission européenne à propos de son attaque législative contre l'indépendance judiciaire. Mais d'après Frans Timmermans, le premier vice-président de la Commission, la Pologne refuse toujours de coopérer et n'a annoncé « aucunes mesures concrètes pour régler les questions soulevées. »
BUDAPEST – Avec un certain retard, le gouvernement polonais, contrôlé par le parti Droit et Justice (PiS), a finalement répondu aux inquiétudes soulevées par la Commission européenne à propos de son attaque législative contre l'indépendance judiciaire. Mais d'après Frans Timmermans, le premier vice-président de la Commission, la Pologne refuse toujours de coopérer et n'a annoncé « aucunes mesures concrètes pour régler les questions soulevées. »