NEW YORK – Au lendemain de la crise financière mondiale de 2008, la capacité des dirigeants politiques à empêcher la Grande Récession de se transformer en seconde Grande Dépression a permis de maintenir sous contrôle les appels aux mesures de protectionnisme et d’introversion. Mais voici que les réactions face à la mondialisation – ainsi qu’à une plus grande liberté de circulation des biens, des services, des capitaux, du travail, et des technologies qui l’accompagnent – se font de plus en plus violentes.
NEW YORK – Au lendemain de la crise financière mondiale de 2008, la capacité des dirigeants politiques à empêcher la Grande Récession de se transformer en seconde Grande Dépression a permis de maintenir sous contrôle les appels aux mesures de protectionnisme et d’introversion. Mais voici que les réactions face à la mondialisation – ainsi qu’à une plus grande liberté de circulation des biens, des services, des capitaux, du travail, et des technologies qui l’accompagnent – se font de plus en plus violentes.