ROME – Une véritable bataille a d’ores et déjà commencé pour la désignation du futur président de la Commission européenne. Bien que le Parti populaire européen de centre-droite n’ait remporté qu’une faible majorité relative de 221 sièges sur les 751 du Parlement européen, les parlementaires de centre-gauche ainsi que les verts et les libéraux se sont ralliés aux candidats du PPE, Jean-Claude Juncker, en tant que choix « légitime. » L’opposition, menée par le Premier ministre britannique David Cameron avec l’appui des « souverainistes » d’Europe, particulièrement dans les pays scandinaves mais également en Hongrie, considère de son côté qu’un représentant que les citoyens européens connaissent à peine ne saurait revendiquer une quelconque légitimité politique.
ROME – Une véritable bataille a d’ores et déjà commencé pour la désignation du futur président de la Commission européenne. Bien que le Parti populaire européen de centre-droite n’ait remporté qu’une faible majorité relative de 221 sièges sur les 751 du Parlement européen, les parlementaires de centre-gauche ainsi que les verts et les libéraux se sont ralliés aux candidats du PPE, Jean-Claude Juncker, en tant que choix « légitime. » L’opposition, menée par le Premier ministre britannique David Cameron avec l’appui des « souverainistes » d’Europe, particulièrement dans les pays scandinaves mais également en Hongrie, considère de son côté qu’un représentant que les citoyens européens connaissent à peine ne saurait revendiquer une quelconque légitimité politique.