BERLIN – Ce mois de novembre marquera le premier anniversaire du soulèvement de l’Euromaïdan à Kiev. Il y a bientôt un an, une grande partie de la population ukrainienne – et notamment les jeunes – s’élevait ainsi contre la décision du président ukrainien de l’époque, Victor Ianoukovitch, consistant à refuser la signature de l’accord d’association entre le pays et l’Union européenne (finalisé après de nombreuses années de négociation), le président s’inscrivant davantage en faveur d’une union douanière avec la Russie. Une telle démarche aurait abouti à une réorientation de l’Ukraine vers l’Est, qui aurait vu l’accession du président russe Vladimir Poutine à la tête de l’Union eurasienne exclure toute possibilité pour l’Ukraine de rejoindre un jour l’UE.
BERLIN – Ce mois de novembre marquera le premier anniversaire du soulèvement de l’Euromaïdan à Kiev. Il y a bientôt un an, une grande partie de la population ukrainienne – et notamment les jeunes – s’élevait ainsi contre la décision du président ukrainien de l’époque, Victor Ianoukovitch, consistant à refuser la signature de l’accord d’association entre le pays et l’Union européenne (finalisé après de nombreuses années de négociation), le président s’inscrivant davantage en faveur d’une union douanière avec la Russie. Une telle démarche aurait abouti à une réorientation de l’Ukraine vers l’Est, qui aurait vu l’accession du président russe Vladimir Poutine à la tête de l’Union eurasienne exclure toute possibilité pour l’Ukraine de rejoindre un jour l’UE.