VIENNE – Alors que la plupart des États membres de l’Union européenne semblent saisis de panique à l’idée d’une victoire de Marine Le Pen, présidente du parti d’extrême-droite français Front National, lors de l’élection présidentielle en mai prochain, la prochaine épreuve de vérité de l’UE se présentera en fait bien plus tôt. Dimanche 4 décembre, les Italiens se rendront aux urnes pour approuver ou rejeter un référendum sur un projet de réforme constitutionnelle et les Autrichiens choisiront leur prochain président. Le résultat des votes dans ces deux pays pourrait avoir des répercussions majeures au-delà de leurs frontières.
VIENNE – Alors que la plupart des États membres de l’Union européenne semblent saisis de panique à l’idée d’une victoire de Marine Le Pen, présidente du parti d’extrême-droite français Front National, lors de l’élection présidentielle en mai prochain, la prochaine épreuve de vérité de l’UE se présentera en fait bien plus tôt. Dimanche 4 décembre, les Italiens se rendront aux urnes pour approuver ou rejeter un référendum sur un projet de réforme constitutionnelle et les Autrichiens choisiront leur prochain président. Le résultat des votes dans ces deux pays pourrait avoir des répercussions majeures au-delà de leurs frontières.