Cinq ans après l’accord sur nucléaire iranien, celui-ci se retrouve sous respiration artificielle, conséquence du rétablissement des sanctions américaines et du retour de l'Iran à des activités d'enrichissement. Avant que deux décennies de diplomatie ne soient perdues, il faut que toutes les parties concernées fassent marche arrière pour éviter le précipice.
BRUXELLES – Il y a cinq ans à Vienne, les E3/UE+3 (la Chine, la France, l’Allemagne, la Fédération de Russie, le Royaume-Uni et les États-Unis, ainsi que le Haut représentant de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité) et l'Iran ont convenu d’un Plan d'action global conjoint (PAGC). Pour marquer le cinquième anniversaire de cet accord, nous devrions commencer par reconnaître la simple réalité : sans cet accord, l'Iran aurait pu, dès maintenant, disposer d’armes nucléaires, ajoutant encore une source d'instabilité supplémentaire dans une région qui n’en manque déjà pas.
BRUXELLES – Il y a cinq ans à Vienne, les E3/UE+3 (la Chine, la France, l’Allemagne, la Fédération de Russie, le Royaume-Uni et les États-Unis, ainsi que le Haut représentant de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité) et l'Iran ont convenu d’un Plan d'action global conjoint (PAGC). Pour marquer le cinquième anniversaire de cet accord, nous devrions commencer par reconnaître la simple réalité : sans cet accord, l'Iran aurait pu, dès maintenant, disposer d’armes nucléaires, ajoutant encore une source d'instabilité supplémentaire dans une région qui n’en manque déjà pas.