TEL-AVIV – Pendant des années, les modérés iraniens, tel l’ancien président Hassan Rohani, ont tenté de parvenir à une compréhension mutuelle avec l’Occident. Ils ont pourtant échoué. Aujourd’hui, un partisan de la ligne dure est aux commandes. L’élection du président Ebrahim Raïssi sonne-t-elle la fin de ce que le guide suprême Ali Khamenei avait autrefois nommé la « souplesse héroïque » dans les relations avec l’Ouest ? Après la prise de pouvoir des talibans en Afghanistan, la question prend un une acuité nouvelle.
TEL-AVIV – Pendant des années, les modérés iraniens, tel l’ancien président Hassan Rohani, ont tenté de parvenir à une compréhension mutuelle avec l’Occident. Ils ont pourtant échoué. Aujourd’hui, un partisan de la ligne dure est aux commandes. L’élection du président Ebrahim Raïssi sonne-t-elle la fin de ce que le guide suprême Ali Khamenei avait autrefois nommé la « souplesse héroïque » dans les relations avec l’Ouest ? Après la prise de pouvoir des talibans en Afghanistan, la question prend un une acuité nouvelle.