PARIS – Les gouvernements français et allemand ont, dans l’urgence, sauvé l’industrie automobile par d’importants apports de fonds, mettant en évidence que dans l’ensemble de l’Union Européenne, la politique industrielle réveillait sa vengeance. Mais, tout au long de l’année passée, les responsables français, allemands et d’autres pays européens ont ouvré contre plutôt que dans le sens de leurs partenaires pour mettre en place ces politiques. Certains secteurs ont par conséquent reçu un soutien excessif tandis que d’autres étaient exclus du marché.
PARIS – Les gouvernements français et allemand ont, dans l’urgence, sauvé l’industrie automobile par d’importants apports de fonds, mettant en évidence que dans l’ensemble de l’Union Européenne, la politique industrielle réveillait sa vengeance. Mais, tout au long de l’année passée, les responsables français, allemands et d’autres pays européens ont ouvré contre plutôt que dans le sens de leurs partenaires pour mettre en place ces politiques. Certains secteurs ont par conséquent reçu un soutien excessif tandis que d’autres étaient exclus du marché.