MUNICH – Après des mois de jeux, de stratégie de la corde raide et seulement une semaine après que les électeurs grecs ont rejeté les conditions d'un plan de sauvetage de 7,5 milliards d'euros (8,2 milliards de dollars), la conclusion ne s'est pas fait attendre. Les dirigeants politiques de la zone euro ont accepté d'ouvrir les négociations par un programme beaucoup plus étendu, d'une valeur de 86 milliards d'euros, presque la moitié du PIB de la Grèce. Malheureusement l'accord témoigne de la détermination affichée de l'Europe de rejouer la même tragédie à l'avenir.
MUNICH – Après des mois de jeux, de stratégie de la corde raide et seulement une semaine après que les électeurs grecs ont rejeté les conditions d'un plan de sauvetage de 7,5 milliards d'euros (8,2 milliards de dollars), la conclusion ne s'est pas fait attendre. Les dirigeants politiques de la zone euro ont accepté d'ouvrir les négociations par un programme beaucoup plus étendu, d'une valeur de 86 milliards d'euros, presque la moitié du PIB de la Grèce. Malheureusement l'accord témoigne de la détermination affichée de l'Europe de rejouer la même tragédie à l'avenir.