OXFORD – La récente loi allemande d’application sur les réseaux – qui expose les médias sociaux tels que Facebook et YouTube à une amende pouvant atteindre 50 millions € pour chaque publication « manifestement illégale », si le contenu n’est pas retiré dans les 24 heures après notification – suscite la controverse depuis son apparition. Après sa pleine entrée en vigueur au mois de janvier, et sur l’ensemble de l’échiquier politique, beaucoup se sont indignés en faisant valoir qu’il s’agissait d’une censure déguisée, et que le gouvernement se dessaisissait ainsi de ses pouvoirs pour les déléguer à des intérêts privés.
OXFORD – La récente loi allemande d’application sur les réseaux – qui expose les médias sociaux tels que Facebook et YouTube à une amende pouvant atteindre 50 millions € pour chaque publication « manifestement illégale », si le contenu n’est pas retiré dans les 24 heures après notification – suscite la controverse depuis son apparition. Après sa pleine entrée en vigueur au mois de janvier, et sur l’ensemble de l’échiquier politique, beaucoup se sont indignés en faisant valoir qu’il s’agissait d’une censure déguisée, et que le gouvernement se dessaisissait ainsi de ses pouvoirs pour les déléguer à des intérêts privés.