PARIS – « Dis-moi où tu habites, je te dirai pour qui tu votes » ; dans de nombreux pays, cette règle se vérifie de plus en plus. La carte des vote pour le « Leave » ou pour le « Remain » lors du référendum britannique sur l’appartenance à l’Union européenne l’indiquaient clairement. La même logique pouvait s’observer dans la répartition des votes à l’élection présidentielle aux États-Unis en 2012 ou, en France, dans le soutien au Front national de Marine Le Pen lors des élections régionales de 2015. Il est probable que la prochaine élection présidentielle américaine la confirme. Beaucoup de gens partagent les convictions de leurs voisins et votent comme eux.
PARIS – « Dis-moi où tu habites, je te dirai pour qui tu votes » ; dans de nombreux pays, cette règle se vérifie de plus en plus. La carte des vote pour le « Leave » ou pour le « Remain » lors du référendum britannique sur l’appartenance à l’Union européenne l’indiquaient clairement. La même logique pouvait s’observer dans la répartition des votes à l’élection présidentielle aux États-Unis en 2012 ou, en France, dans le soutien au Front national de Marine Le Pen lors des élections régionales de 2015. Il est probable que la prochaine élection présidentielle américaine la confirme. Beaucoup de gens partagent les convictions de leurs voisins et votent comme eux.