BRUXELLES – Lorsque les difficultés s’accumulent, comme c’est aujourd’hui le cas en Europe – une tentative de coup d’État en Turquie venant tout juste de succéder à la décision du Royaume-Uni de quitter l’Union européenne – l’attention a souvent tendance à se concentrer sur la plus récente des problématiques. Les difficultés antérieures, qui apparaissent alors moins urgentes, se trouvent ainsi reléguées au second plan. Or, depuis de nombreuses années, nous autres Européens constatons le résultat d’une telle situation : au bout du compte, aucune des problématiques ne semble trouver de solution.
BRUXELLES – Lorsque les difficultés s’accumulent, comme c’est aujourd’hui le cas en Europe – une tentative de coup d’État en Turquie venant tout juste de succéder à la décision du Royaume-Uni de quitter l’Union européenne – l’attention a souvent tendance à se concentrer sur la plus récente des problématiques. Les difficultés antérieures, qui apparaissent alors moins urgentes, se trouvent ainsi reléguées au second plan. Or, depuis de nombreuses années, nous autres Européens constatons le résultat d’une telle situation : au bout du compte, aucune des problématiques ne semble trouver de solution.