NEW YORK – La situation économique désastreuse dans laquelle la plupart des pays riches se sont trouvés en 2011 n’a pas seulement été le résultat de forces économiques impersonnelles, mais tout autant le fruit des politiques menées ou non par les dirigeants de la planète. En effet, la remarquable unanimité observée pendant la première phase de la crise économique apparue en 2008, et dont la mise en place du plan de sauvetage de 1 000 milliards de dollars lors de Sommet du G-20 de Londres en 2009 a constitué l’apogée, s’est rapidement dispersée.
NEW YORK – La situation économique désastreuse dans laquelle la plupart des pays riches se sont trouvés en 2011 n’a pas seulement été le résultat de forces économiques impersonnelles, mais tout autant le fruit des politiques menées ou non par les dirigeants de la planète. En effet, la remarquable unanimité observée pendant la première phase de la crise économique apparue en 2008, et dont la mise en place du plan de sauvetage de 1 000 milliards de dollars lors de Sommet du G-20 de Londres en 2009 a constitué l’apogée, s’est rapidement dispersée.