LONDRES – Depuis quelques années, la discipline économique vient coloniser l’étude d’activités humaines jusqu’à présent considérées comme exemptes de tout calcul formel. Ce que certains détracteurs qualifiaient d’« impérialisme de l’économie » laisse place désormais à une économie de l’amour, des arts, de la musique, des langues, de la littérature, et de bien d’autres choses.
LONDRES – Depuis quelques années, la discipline économique vient coloniser l’étude d’activités humaines jusqu’à présent considérées comme exemptes de tout calcul formel. Ce que certains détracteurs qualifiaient d’« impérialisme de l’économie » laisse place désormais à une économie de l’amour, des arts, de la musique, des langues, de la littérature, et de bien d’autres choses.