MADRID – Dans nombre de démocraties occidentales, les populistes de droite, galvanisés par leurs victoires autoproclamées sur les « élites du système », doublent la mise lorsqu’ils dénoncent la mondialisation, à la source, selon eux, des maux de leurs concitoyens. Chez ceux dont le niveau de vie stagne ou baisse depuis plusieurs décennies tandis que leurs dirigeants politiques vantent la libéralisation des échanges et des flux de capitaux comme la recette universelle de la prospérité, l’argument fait mouche. On doit donc le combattre franchement.
MADRID – Dans nombre de démocraties occidentales, les populistes de droite, galvanisés par leurs victoires autoproclamées sur les « élites du système », doublent la mise lorsqu’ils dénoncent la mondialisation, à la source, selon eux, des maux de leurs concitoyens. Chez ceux dont le niveau de vie stagne ou baisse depuis plusieurs décennies tandis que leurs dirigeants politiques vantent la libéralisation des échanges et des flux de capitaux comme la recette universelle de la prospérité, l’argument fait mouche. On doit donc le combattre franchement.