LONDRES – Il se trouve que le roi du Bhoutan aspire à faire de nous tous des individus plus heureux. Les États, avance-t-il, devraient avoir pour objectif de maximiser le bonheur national brut de la population, bien avant leur produit national brut. Cette nouvelle tendance à se soucier du bien-être marque-t-elle le franchissement d’une étape, ou ne constitue-t-elle qu’une mode passagère ?
LONDRES – Il se trouve que le roi du Bhoutan aspire à faire de nous tous des individus plus heureux. Les États, avance-t-il, devraient avoir pour objectif de maximiser le bonheur national brut de la population, bien avant leur produit national brut. Cette nouvelle tendance à se soucier du bien-être marque-t-elle le franchissement d’une étape, ou ne constitue-t-elle qu’une mode passagère ?