TEL AVIV – « Un spectre hante le monde développé : le spectre de l’ingouvernabilité », débutait un éditorial publié cette année dans The Economist, qui paraphrasait les premières lignes du Manifeste du parti communiste. L’Occident n’est aujourd’hui plus le seul hémisphère en proie à l’ingouvernabilité. À travers le monde arabe, les manifestants font clairement savoir qu’ils resteront ingouvernables tant que leurs dirigeants ne leur proposeront pas une gouvernance acceptable.
TEL AVIV – « Un spectre hante le monde développé : le spectre de l’ingouvernabilité », débutait un éditorial publié cette année dans The Economist, qui paraphrasait les premières lignes du Manifeste du parti communiste. L’Occident n’est aujourd’hui plus le seul hémisphère en proie à l’ingouvernabilité. À travers le monde arabe, les manifestants font clairement savoir qu’ils resteront ingouvernables tant que leurs dirigeants ne leur proposeront pas une gouvernance acceptable.