MILAN – A quoi pouvons-nous nous attendre à l’heure où l’économie mondiale sort de sa récession la plus grave depuis près d’un siècle ? Tout simplement à une « nouvelle normalité » assortie d’une croissance plus lente, à un système financier fondamentalement plus stable comportant moins de risques, et à un ensemble de défis supplémentaires (énergie, climat et déséquilibres démographiques, pour n’en citer que trois) à échéances variées, qui mettront à l’épreuve notre capacité collective à améliorer la gestion et le contrôle de l’économie mondiale.
MILAN – A quoi pouvons-nous nous attendre à l’heure où l’économie mondiale sort de sa récession la plus grave depuis près d’un siècle ? Tout simplement à une « nouvelle normalité » assortie d’une croissance plus lente, à un système financier fondamentalement plus stable comportant moins de risques, et à un ensemble de défis supplémentaires (énergie, climat et déséquilibres démographiques, pour n’en citer que trois) à échéances variées, qui mettront à l’épreuve notre capacité collective à améliorer la gestion et le contrôle de l’économie mondiale.