MUNICH – On a cru, un temps, que la Première ministre britannique et les soutiens de son gouvernement au Parlement pourraient à eux seuls trancher la question du Brexit. Au fil d’une longue série de votes tactiques sur toutes sortes de questions de second plan, laissant pendre comme une épée de Damoclès au-dessus des têtes des députés la perspective d’un Brexit « dur » sans accord, le gouvernement May a tenté de manipuler l’issue du référendum sur la sortie du pays de l’Union européenne. Pendant longtemps, sa méthode a dupé les citoyens britanniques et européens.
MUNICH – On a cru, un temps, que la Première ministre britannique et les soutiens de son gouvernement au Parlement pourraient à eux seuls trancher la question du Brexit. Au fil d’une longue série de votes tactiques sur toutes sortes de questions de second plan, laissant pendre comme une épée de Damoclès au-dessus des têtes des députés la perspective d’un Brexit « dur » sans accord, le gouvernement May a tenté de manipuler l’issue du référendum sur la sortie du pays de l’Union européenne. Pendant longtemps, sa méthode a dupé les citoyens britanniques et européens.