NEW YORK – Les conservateurs se montrent souvent théâtraux lorsqu’ils évoquent leur inquiétude quant au poids de la dette que nous transmettrons à nos enfants. Cet argument moral est notamment intervenu dans le refus des Républicains du Congrès de soutenir une augmentation pourtant habituelle du plafond de la dette des États-Unis. Le bon vieux parti semble si attaché à la réduction des dépenses qu’il est prêt à prendre en otage l’économie mondiale, ainsi qu’à risquer de voir la réputation de l’Amérique définitivement mise à mal.
NEW YORK – Les conservateurs se montrent souvent théâtraux lorsqu’ils évoquent leur inquiétude quant au poids de la dette que nous transmettrons à nos enfants. Cet argument moral est notamment intervenu dans le refus des Républicains du Congrès de soutenir une augmentation pourtant habituelle du plafond de la dette des États-Unis. Le bon vieux parti semble si attaché à la réduction des dépenses qu’il est prêt à prendre en otage l’économie mondiale, ainsi qu’à risquer de voir la réputation de l’Amérique définitivement mise à mal.