LONDRES – L’an dernier, le scandale du Libor a constitué un choc pour le corps politique londonien. Malgré tout ce qui s’était produit auparavant, l’opinion publique et ses représentants ont été stupéfaits d’apprendre qu’un certain nombre de banquiers avaient saboté les fondements d’un indice de référence mondial – dont la première lettre de l’acronyme fait référence à Londres – dans un but d’enrichissement personnel. Le chancelier de l’Échiquier britannique, George Osborne, s’est senti obligé d’entamer une enquête parlementaire. Le 19 juin, après un an de travail, la Commission parlementaire sur les normes bancaires a produit un rapport de taille.
LONDRES – L’an dernier, le scandale du Libor a constitué un choc pour le corps politique londonien. Malgré tout ce qui s’était produit auparavant, l’opinion publique et ses représentants ont été stupéfaits d’apprendre qu’un certain nombre de banquiers avaient saboté les fondements d’un indice de référence mondial – dont la première lettre de l’acronyme fait référence à Londres – dans un but d’enrichissement personnel. Le chancelier de l’Échiquier britannique, George Osborne, s’est senti obligé d’entamer une enquête parlementaire. Le 19 juin, après un an de travail, la Commission parlementaire sur les normes bancaires a produit un rapport de taille.