MUNICH – Depuis 2013, année de publication de l’étude abondamment commentée de Thomas Piketty sur la répartition des revenus et du patrimoine, les inégalités sont au premier plan du débat public dans la plupart des économies avancées, tenues pour responsables de tous les maux, de la croissance atone à la productivité médiocre, de la montée du populisme au vote pour le Brexit. Mais les inégalités restent mal définies, leurs effets apparaissent très variables, et leurs causes font l’objet de vifs débats.
MUNICH – Depuis 2013, année de publication de l’étude abondamment commentée de Thomas Piketty sur la répartition des revenus et du patrimoine, les inégalités sont au premier plan du débat public dans la plupart des économies avancées, tenues pour responsables de tous les maux, de la croissance atone à la productivité médiocre, de la montée du populisme au vote pour le Brexit. Mais les inégalités restent mal définies, leurs effets apparaissent très variables, et leurs causes font l’objet de vifs débats.