CAMBRIDGE – À l’approche de l’élection présidentielle américaine de 2024, trois grands camps s’affrontent dans le débat portant sur la relation que devraient entretenir les États-Unis avec le reste du monde : les internationalistes libéraux, qui prédominent depuis la Seconde guerre mondiale ; les tenants d’un désengagement qui souhaitent voir le pays se retirer de certaines alliances et institutions ; et les partisans de « l’Amérique d’abord » qui ont une vision étroite, parfois isolationniste, du rôle des États-Unis dans le monde.
CAMBRIDGE – À l’approche de l’élection présidentielle américaine de 2024, trois grands camps s’affrontent dans le débat portant sur la relation que devraient entretenir les États-Unis avec le reste du monde : les internationalistes libéraux, qui prédominent depuis la Seconde guerre mondiale ; les tenants d’un désengagement qui souhaitent voir le pays se retirer de certaines alliances et institutions ; et les partisans de « l’Amérique d’abord » qui ont une vision étroite, parfois isolationniste, du rôle des États-Unis dans le monde.