CAMBRIDGE – Dans mon dernier livre, Do Moral Matter ? (« La morale compte-t-elle ? »), qui examine la question pour les mandats des quatorze derniers présidents, j’arrive à la conclusion que si les Américains souhaitent une politique étrangère, ils se déchirent sur le sens qu’on doit lui donner. Les Américains considèrent souvent que leur pays est exceptionnel parce que nous définissons notre identité non par notre appartenance ethnique, mais par des idées qui forment une vision libérale de la société et par un mode de vie fondé sur la liberté politique, économique et culturelle. L’administration du président Donald Trump s’écarte de cette tradition.
CAMBRIDGE – Dans mon dernier livre, Do Moral Matter ? (« La morale compte-t-elle ? »), qui examine la question pour les mandats des quatorze derniers présidents, j’arrive à la conclusion que si les Américains souhaitent une politique étrangère, ils se déchirent sur le sens qu’on doit lui donner. Les Américains considèrent souvent que leur pays est exceptionnel parce que nous définissons notre identité non par notre appartenance ethnique, mais par des idées qui forment une vision libérale de la société et par un mode de vie fondé sur la liberté politique, économique et culturelle. L’administration du président Donald Trump s’écarte de cette tradition.