LONDRES – Nous assistons actuellement au début d’un changement de paradigme dans les sciences de la Terre. Un article publié dans Nature en juillet dernier décrit comment un réseau de neurones artificiels (du domaine de l’intelligence artificielle) prédit mieux les conditions météorologiques que le Centre européen de prévisions météorologiques à moyen terme (CEPMMT, ou ECMWF en anglais), pourtant doté du système de prévision numérique des conditions météorologique le plus avancé au monde. Ensuite, en novembre, la filiale DeepMind de Google a annoncé que son programme d’IA de prévision météorologique parvient à des résultats plus précis et plus rapides encore.
LONDRES – Nous assistons actuellement au début d’un changement de paradigme dans les sciences de la Terre. Un article publié dans Nature en juillet dernier décrit comment un réseau de neurones artificiels (du domaine de l’intelligence artificielle) prédit mieux les conditions météorologiques que le Centre européen de prévisions météorologiques à moyen terme (CEPMMT, ou ECMWF en anglais), pourtant doté du système de prévision numérique des conditions météorologique le plus avancé au monde. Ensuite, en novembre, la filiale DeepMind de Google a annoncé que son programme d’IA de prévision météorologique parvient à des résultats plus précis et plus rapides encore.