RIYAD – A l’aube de 2014, il n’existe pas sujet plus important en matière de diplomatie internationale que celui-ci : l’Iran a-t-il changé ? Depuis son élection en juin dernier, le nouveau président de l’Iran Hassan Rouhani, a affiché une attitude plus modérée dans les relations internationales du pays. Mais la prudence est de mise – aujourd’hui comme dans les années à venir. Deuxième producteur mondial de pétrole, chef de file auto-proclamé de l’Islam shiite et des révolutionnaires musulmans anti-Occident partout dans le monde, l’Iran demeure un danger non seulement pour l’Arabie Saoudite, mais aussi pour la paix et la stabilité au Moyen-Orient et au-delà.
RIYAD – A l’aube de 2014, il n’existe pas sujet plus important en matière de diplomatie internationale que celui-ci : l’Iran a-t-il changé ? Depuis son élection en juin dernier, le nouveau président de l’Iran Hassan Rouhani, a affiché une attitude plus modérée dans les relations internationales du pays. Mais la prudence est de mise – aujourd’hui comme dans les années à venir. Deuxième producteur mondial de pétrole, chef de file auto-proclamé de l’Islam shiite et des révolutionnaires musulmans anti-Occident partout dans le monde, l’Iran demeure un danger non seulement pour l’Arabie Saoudite, mais aussi pour la paix et la stabilité au Moyen-Orient et au-delà.