LONDRES – Depuis le début du printemps arabe il y a trois ans et les troubles qui en ont découlés au Moyen-Orient, l’Arabie saoudite a tenté de préserver sa position dominante dans la région par tous les moyens à sa disposition. En 2013, la famille royale saoudienne a d’une part cherché des alliés régionaux et de l’autre tenté de rétablir d’anciens alliés, comme en Égypte. Le royaume wahhabite s’est également servi de ses vastes ressources en pétrole pour obtenir le genre de stabilité régionale auquel il est accoutumé depuis des décennies.
LONDRES – Depuis le début du printemps arabe il y a trois ans et les troubles qui en ont découlés au Moyen-Orient, l’Arabie saoudite a tenté de préserver sa position dominante dans la région par tous les moyens à sa disposition. En 2013, la famille royale saoudienne a d’une part cherché des alliés régionaux et de l’autre tenté de rétablir d’anciens alliés, comme en Égypte. Le royaume wahhabite s’est également servi de ses vastes ressources en pétrole pour obtenir le genre de stabilité régionale auquel il est accoutumé depuis des décennies.